Menacée par une crise alimentaire, la Namibie, en proie à une sécheresse extrême, abat des centaines d’animaux sauvages depuis mardi pour nourrir la population de certaines régions, et réduire la pression sur les ressources en eau. Mais si la situation offre une nouvelle illustration des tensions que peut causer le réchauffement climatique sur la relation entre les humains et les animaux sauvages, chercheurs et ONG contestent la décision radicale du gouvernement namibien et en appréhendent les conséquences.