Par l’adoption en première lecture, mardi, de la proposition de loi « visant à renforcer la lutte contre les violences sexuelles et sexistes », les députés français ont validé l’inscription dans le code pénal français de la notion de « contrôle coercitif », au cœur des violences conjugales. Une notion qui concerne disproportionnellement les femmes et indissociablement les enfants.