Le Tchad annonçait, il y a quelques jours, qu’il mettait fin aux accords de sécurité et de défense avec la France. Malgré cette annonce, le ministre des Affaires étrangères, Abderaman Koulamallah, a précisé qu’il ne s’agissait pas d’une rupture diplomatique. Si le président Mahamat Idriss Déby a affirmé que cet accord ne correspondait plus à ses impératifs sécuritaires et géopolitiques, il a également indiqué qu’il souhaitait voir la France investir dans d’autres secteurs plus bénéfiques pour le Tchad.