Ancien député et dirigeant d’un petit parti libéral, Ayachi Zammel a annoncé mercredi maintenir sa candidature à la présidentielle du 6 octobre après avoir été condamné à un an et huit mois de prison pour des accusations liées à des falsifications de parrainages. Après son arrestation, l’Union européenne avait dénoncé des atteintes à la démocratie en Tunisie, où trois candidats de poids ont déjà été écartés début septembre par l’autorité électorale.