Un mois après la fin des Jeux olympiques, de nombreux migrants, dont une majorité de mineurs isolés, reviennent dans la capitale. Mais leurs campements sont systématiquement démantelés par les forces de l’ordre en quelques heures. Surtout, aucune solution de mise à l’abri n’est proposée à ces jeunes, non reconnus mineurs par l’État et livrés à eux-mêmes.