Le pouvoir en Géorgie a juré jeudi de détruire l’opposition « libéralo-fasciste ». Elle jouit du soutien financier, selon le Premier ministre Irakli Kobakhidzé, de pays étrangers. Des propos tenus en pleine vague de manifestations pro-UE, qui entre dans sa deuxième semaine et fait face à une répression accrue des autorités.