Plus que quelques jours avant la fin de la COP16 biodiversité. La question des financements divise toujours les pays du sud global et les pays riches. Ils ne parviennent pas à se mettre d’accord sur la façon dont seront gérés ces fonds. Les peuples autochtones réclament d’être consultés, parce qu’ils sont à la fois les premières victimes de l’effondrement de la biodiversité et sont aussi les gardiens de connaissances traditionnelles pour la préservation de l’équilibre environnemental.