Dans la chronique Sciences, on revient sur la décision de l’Agence européenne des médicaments (EMA) de finalement recommander l’approbation de mise sur le marché d’un traitement contre la maladie d’Alzheimer, le Lecanemab. En juillet dernier, l’EMA avait pourtant refusé d’autoriser sa commercialisation sur le territoire européen notant « un risque accru d’effets secondaires graves » et « un intérêt clinique limité ». Alors comment expliquer ce revirement de situation ?